Carambar, à nouveau français: ce n’est pas une blague !

Histoire Franchement Bien du carambar

D’une erreur dit-on, naquit en 1954, en France, une délicieuse friandise au caramel mou qui transformée en barre fut appelée du joli nom de Carambar (abréviation de caramel en barre).

Créé par l’entreprise Delespaul à Marcq-en-Barœul (Nord),  Carambar a successivement appartenu à la Générale Alimentaire, à la Générale Occidentale, puis à BSN, devenu Danone, puis Cadbury, puis à Mondelēz International à l’issue d’une scission de l’américain Kraft Foods. À la suite de la demande de revente de Mondelèz, le fonds de pension français Eurazeo reprend la marque en 2017.

8 centimètres et 8 grammes de caramel mou et cacao

Un carambar, c’est 8 gr de caramel mou et de cacao sur 8 cm de long.
Il est aujourd’hui décliné en variantes aux arômes artificiels de fruits, de nougat (sous la marque Caranougat) ou de cola, ainsi qu’en variétés aux goûts artificiels très marqués (comme Atomic cactus). Principalement diffusé en France, environ un milliard d’unités de ces confiseries sont consommées chaque année.

À l’intérieur de chaque emballage de Carambar est imprimée une devinette destinée aux enfants et aux parents !
On en a sélectionné une spécialement bien pour nos lecteurs FranchementBien :
Pourquoi faut-il se méfier des sirènes au volant ?
Parce qu’elles font des queues de poisson !

Un prix multiplié par 2

Dans les années 1960, un Carambar coûtait cinq centimes de franc. Aujourd’hui, il est commercialisé au prix de 0,15 euro, ce qui correspond à un peu moins d’un franc. Ainsi, en l’espace de 40 ans, son prix a été multiplié par près de 20. Mais à monnaie constante, le prix du Carambar, à pouvoir d’achat égal, en réalité doublé. Ce n’est donc pas deux pour le prix d’un, mais deux pour le prix de quatre !

Carambar est redevenu français

Une nouvelle Société Carambar & Co a vu le jour le 2 mai 2017. Un nouveau départ pour le célèbre Carambar, mais aussi pour les bonbons Kréma et La Pie qui chante, les pastilles Vichy sans oublier le chocolat Poulain, les rochers Suchard ou le chewing-gum Malabar. Des marques qui fleurent bon la France, avec un brin de nostalgie. Cédées par le géant américain Mondelèz, elles reviennent sous pavillon français.

Une franchement bien bonne nouvelle pour tous les gourmands !

 

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