Fabriqué au coeur des Alpes françaises depuis 1890, l’Opinel puise dans ses origines montagnardes sa robustesse et sa simplicité.
Le couteau Opinel participe à l’art de vivre à la française. On l’utilise au quotidien, pour ramasser mauvaises herbes ou champignons, couper le pain à la maison ou le saucisson pour un pique-nique entre amis, dénuder un fil électrique ou tailler un bâton.
Picasso l’a utilisé pour sculpter ; le navigateur Alain Colas a échappé à la mort en coupant un lien qui lui bloquait la jambe ; Eric Tabarly ne jurait que par son Opinel.
L’Opinel est également un outil bien connu chez les scouts ou dans les colonies de vacances.
La fabrication du couteau est simple. Elle consiste en l’assemblage de cinq pièces : la lame, le manche en bois (95% des bois Opinel proviennent de France), une bague fixe en acier et son rivet, sur laquelle la lame pivote, et une bague de sécurité tournante pour empêcher la lame de se refermer sur la main de l’utilisateur.
Sa simplicité et sa construction ingénieuse, qui est restée quasiment inchangée depuis plus d’un siècle, a transformé l’Opinel en un objet classique du design. Il fait partie des 100 plus beaux objets du monde identifiés par le Victoria et Albert Museum de Londres et des 999 objets du Phaidon Design Classics (Musée d’art moderne de New York).
Les américains en raffolent !
Alors franchement pour Noël, pourquoi ne pas offrir un Opinel ?
Merci à Kent, fidèle lecteur de San Francisco et fan d’Opinel, pour nous avoir donné l’idée de ce sujet.